Projets actuels

Nous vous présentons ici nos projets actuels pour lesquels vous pourrez faire un don.

Centre de visiteurs de Sataf

Sataf, son paysage vallonné orné de magnifiques forêts de pins et de cyprès ainsi que son site archéologique près de Jérusalem, fascine les visiteurs, dès le premier regard. Un centre d’acceuil doit enfin voir le jour pour informer et inviter à la détente comme aux loisirs.

Le site biblique de Sataf situé au sud-ouest de Jérusalem était déjà utilisé pour l’agriculture, il y a 4500 ans. Il est situé sur les flancs des collines de Judée. Deux sources se déversent des sommets vers la vallée et irriguent les terrasses agricoles - un hommage à la technique d'irrigation hébraïque millénaire, quasi tombée en désuétude. C'est ici que poussent le raisin, les figues et les grenades.

Les habitants de Jérusalem et des environs ont la possibilité d’ensemencer et cultiver des jardins familliaux, à Sataf - une particularité pour Israël. Sataf est également un important point de départ pour les itinéraires de randonnées sur les collines de Jérusalem qui accueillent 500'000 visiteurs par an. Depuis le début, le KKL-JNF Suisse a participé de manière significative au financement du du parc à caractère agricole.

Un nouveau centre de visiteurs

La création d’un nouveau centre d'accueil et d’information est prévu à l'entrée du site. Il permettra aux visiteurs, entre autres services, de de s’informer, se rafraichir et se restaurer.
Les deux bâtiments, construits en pierre et bois de la région, s'intègreront parfaitement à la nature. Un vaste toit végétalisé offrira de l’ombre aux visiteurs. Un café invitera à la détente et aux loisirs.  La construction sera respectueuse de l'environnement et économe en énergie, avec notamment, des panneaux solaires pour alimenter le bâtiment en électricité. Ces édifices sont actuellement en construction : l’ouverture du centre de visiteurs est prévue en 2024. Votre don est une contribution essentielle pour permettre aux promeneurs de s'informer, se détendre et se désaltérer.


La forêt suisse au-dessus de Tibériade dans le nord d'Israël a été inaugurée il y a environ 35 ans. Désormais, un nouveau point de vue à couper le souffle et un lieu de reconnaissance pour tous les mécènes suisses ayant fait des dons à cette forêt, seront créés.

Quiconque se tient au-dessus des hauteurs de Poriah dans le nord d'Israël et regarde la ville de Tibériade et la mer de Galilée, qui n'est qu'à environ 5 km, doit remarquer à quel point toute la région est verte. La raison pour laquelle ce trésor vert dans le nord d'Israël, également connu sous le nom de «forêt suisse», ne remonte pas à des milliers d'années mais à seulement 35 ans. La forêt avec son point de vue central, l'un des endroits les plus importants de toute la région, a été financée par le  KKL-JNF Suisse, grâce aux nombreuses contributions des donateurs de notre pays.

Au fil des années, cette «forêt suisse» est devenue une attraction majeure pour les visiteurs locaux et aux classes scolaires, mais aussi, pour les nombreux touristes qui visitent Israël chaque année.

Malheureusement, les glissements de terrain et les inondations à répétition, font aussi partie de l'histoire de la forêt suisse depuis des années. Il y a deux ans, un mur de soutènement s'est effondré. Un rapport d'enquête ultérieur a révélé que l'ensemble du site ne pouvait plus être classé comme sûr.

Aujourd'hui, ce malheur est utilisé comme une opportunité pour rendre ce lieu aimé par tant de personnes, encore plus attractif. Un nouveau centre commémoratif et de reconnaissance avec un point de vue à couper le souffle doit être construit non loin de l'emplacement d'origine où les anciens donateurs de la Suisse seront notés et honorés ainsi que ceux qui, espérons-le, y seront ajoutés.

Ce nouveau point de vue sera doté d'un toit translucide afin de protéger les nombreux invités des rayons du soleil en été, mais aussi, des fortes pluies et des vents violents pendant les jours d’hiver. De plus, un mur de soutènement sera a nouveau construit pour empêcher complètement les effondrements à l'avenir. Une fois réalisé, ce beau projet, donnerait à la forêt suisse un «câlin vert».

Aidez-nous à développer cet endroit merveilleux - chaque don compte!

La nature est ouverte à tous

Nes Harim Centre des forêts et des prairies dans les collines de Jérusalem

Accessibilité pour tous et activités pour les enfants et les jeunes ayant des besoins particuliers

  • Conception sans obstacle du centre de forêt et de prairie à Nes Harim - projet n° 17788 

Le KKL-JNF Nes Harim Centre des forêts et des prairies  est situé dans la forêt de Nes Harim, près de Beit Shemesh, dans le centre d'Israël, non loin de Jérusalem. Chaque année, des milliers d'enfants, de jeunes et de familles de tout le pays visitent ce centre pour participer à diverses activités éducatives dans un cadre magnifique et pittoresque.

Le Nes Harim Education Center est entouré de verdure, d'une végétation luxuriante et d'une nature préservée. Cela en fait un cadre idéal pour des activités visant à renforcer le lien entre l'homme et la nature, à promouvoir la conscience environnementale chez les enfants et les jeunes ainsi qu’à les sensibiliser sur la protection de l'environnement et enfin à diffuser les valeurs du KKL-JNF.

Afin de rendre ce centre de formation accessible à TOUS et à tous les âges, nous avons rendu le domaine entier accessible aux personnes handicapées et sans barrières avec l'aide de nos fidèles donateurs en Suisse.

  • Nes Harim - Activités dans la nature pour les enfants ayant des besoins spéciaux - Projet n° 15523

À l'époque de Corona en particulier, il est particulièrement important de donner a tout le monde et en particulier à celles qui ont des besoins particuliers, de nature physique ou psychologique, un accès sécurisé et sans souci à des lieux de retraites et de détentes au grand air. Nous nous sommes également fixé cette tâche, et grâce à votre aide en ces temps difficiles, nous avons pu offrir à des dizaines de groupes de jeunes, à des enfants et de familles ayant des besoins spéciaux, des activités de loisirs dans le centre de la forêt et de la prairie de Nes Harim, dans les pittoresque collines de Jérusalem, qui sont désormais sans obstacle grâce aux dons suisses.

Nous avons le plaisir de partager avec vous quelques commentaires de participants heureux à ces activités, qui reflètent à quel point celles-ci ont été appréciées et ont aidées les enfants et les jeunes à traverser ces moments difficiles :

« Ce sont des familles qui font face à des défis pas toujours evidents à surmonter au quotidien, et tout le monde n'a pas les moyens de se payer de tels déplacements » dit Shmuel Silverstein, l'un des chefs de groupe. « Lors des excursions du KKL-JNF, vous apprenez beaucoup sur le pays à l'aide d'expériences amusantes, qui donnent de la force aux parents et elles rendent les enfants très heureux pendant les vacances. Cela fait chaud au cœur de voir que les donateurs de la Suisse pensent à nous et prennent soin de nous. »

Le père de famille Josef Saadon rapporte : « Toute la famille est impliquée dans l'éducation d'un enfant ayant des besoins spéciaux, et aujourd'hui nous profitons de ce voyage ensemble. Nous connaissons le pays, en apprenons plus sur son histoire et profitons de la nature. »

Nous aimons errer sur la terre d'Israël avec notre cher fils et notre chère fille», a déclaré Shmuel Movshovitz. « Notre Ruhami est confiné dans un fauteuil roulant. Elle aime laisser le bruit de la ville derrière elle, sortir dans la nature, écouter le silence et les oiseaux, voir l'eau fraîche et y patauger. Un grand merci à KKL d'avoir investi dans chaque recoin et d'avoir pensé à tout et de rendre tout le monde heureux."

"C'est tellement agréable que de retrouver des gens après l'année Corona et de profiter du temps", déclare Topas Tzedek, 20 ans, de Jérusalem, attaché à un fauteuil roulant électrique. « C'est tellement plaisant de rencontrer d'autres personnes. J'aime sortir de la maison, mais la plupart du temps je ne peux pas sortir dans la nature. Tout m'est accessible ici aussi ».

Matan Dadon, 18 ans, de Migdal Ha'emek, se courbe également dans son fauteuil roulant, accompagné de deux animateurs de jeunesse Simcha Layeled : Matan Ifrach, 22 ans, de Ma'a lot et Eldad Elmakais, 21 ans, de Hadera.

« J'aime tellement la nature et être à l'extérieur », dit-il. « Mais de nombreux endroits sont inaccessibles pour moi. Ici pour moi c'est comme si j'étais en vacances."

Les mers et océans sont les «poumons bleus» de notre planète: les préserver revient à sauver l’humanité!

Nul n’a pu rester de marbre face à ces images: des animaux marins qui mourraient dans d’atroces souffrances et des plages recouvertes de goudron. Cette catastrophe environnementale, la pire de l’histoire récente d’Israël, touche l’intégralité des côtes du pays et nous donnera du fil à retordre pendant de nombreuses années encore.

Mi-février, des milliers de tonnes de goudron ont été rejetées sur les plages d’Israël.
Le KKL-JNF a immédiatement réagi à cette catastrophe et recruté des centaines de bénévoles. En collaboration avec ces derniers, dont beaucoup sont encore jeunes, c’est armés de gants de protection et de masques contre les vapeurs toxiques que nous ramassons les boulettes de goudron, qui ne mesurent souvent que quelques centimètres. Il s’agit d’un travail laborieux, car il faut retirer à la main des milliers de boulettes recouvertes de sable.

Le KKL-JNF déploie des équipes mobiles, qui nettoient chaque jour des nouveaux tronçons de plage, le tout, en coordination avec les autorités environnementales israéliennes. L’objectif consiste à empêcher que le goudron ne s’infiltre dans les couches de sable plus profondes.

Toutefois, cette action de nettoyage spontanée n’est que le début, comme l’explique
Sar-Shalom Jerbi, directeur du département de formation et de la communauté du KKL-JNF: « La catastrophe que nous vivons actuellement a gravement endommagé l’environnement maritime et les animaux qui y habitent. Je suis très fier de ces jeunes, qui se sont retroussés les manches et se sont engagés ensemble pour assainir les plages. Au KKL-JNF, nous continuerons de nous porter volontaires ainsi que de prendre des mesures pour minimiser les dégâts et pour que ces régions d’Israël retrouvent elles aussi leur beauté originelle. »

Vous non plus, cette catastrophe environnementale ne vous laisse pas de marbre? Dans ce cas, réunissons-nous pour mettre un frein à cette destruction et sauver la faune et la flore affectées: ensemble, nous y arriverons! Votre participation financière, aujourd’hui plus que jamais nécessaire, fournira une contribution essentielle à cet égard.

« Faire oublier les dégâts aussi vite que possible »

La forêt de Ben Shemen a brûlé – le KKL-JNF a misé sur différentes mesures dans le cadre des travaux de reconstruction.

La catastrophe est arrivée vite, et les dégâts ont été colossaux: en mai 2019, de gigantesques incendies se sont déclenchés dans la forêt de Ben Shemen. L’hypothèse d’un incendie criminel a pu être écartée. A posteriori, les experts ont établi avec une quasi-certitude que les températures élevées à ce moment-là, qui ne sont cependant pas rares en Israël, en ont été la cause. Le feu s’est répandu rapidement et a eu un effet dévastateur. Plus de 15% de la surface totale de la forêt ont été anéantis, soit 210 hectares. Il a fallu évacuer 3500 personnes de la commune de Mevo Modi’im toute proche. Entre 40 et 50 maisons ont été complètement détruites. Les incendies ont aussi porté une atteinte massive à l’écosystème des bois: des animaux, des plantes, mais surtout une multitude d’arbres ont subi des dégâts. Le monument Koschei Zaglambia, en mémoire des victimes de la Shoah, a lui aussi été atteint par endroits. Gilad Mastai, directeur du KKL-JNF pour la région côtière, se souvient de ces évènements: «Nous avons immédiatement pris part au combat contre l’embrasement. Et grâce au grand engagement de tous, nous sommes finalement parvenus à éteindre le feu.» Les dommages ont néanmoins été très importants.

La forêt de Ben Shemen est le plus grand «poumon vert» de la partie centrale d’Israël et une zone récréative de proximité pour les habitants de la région très peuplée de Gush Dan, tout près de la mer Méditerranée. Elle abrite des sentiers de randonnée et des pistes cyclables ainsi que des aires de pique-nique, et attire ainsi d’innombrables visiteurs en toutes circonstances. Le choc a donc été d’autant plus grand après ce feu.

Les travaux de remise en état ont déjà pu démarrer au début de l’été 2019 et ils se sont notamment poursuivis en 2020, entre autres, grâce au généreux soutien des amis du KKL-JNF Suisse. Les arbres détruits ont été retirés, et les traces de la dévastation éliminées.

Des aires de pique-nique calcinées, des chemins et des sentiers ont été remis en état pour que les visiteurs puissent à nouveau profiter de ces bois aussi vite que possible. En particulier en cette période de pandémie, de telles zones récréatives de proximité sont d’une valeur inestimable pour la population locale.

Merci de tout cœur de votre soutien – toda raba!

«Forêt des Martyrs: recueil à l’ombre des vieux oliviers»

«Ne jamais oublier»

En 1951, soit à peine six ans après la fin de la Seconde Guerre Mondiale, et donc de la Shoah ayant coûté la vie à six millions de personnes, le KKL-JNF, en collaboration avec l’organisation B`nai B`rith, a donné vie à la Forêt des Martyrs (Jaar Hakodoschim en hébreu) à proximité de Jérusalem.

Ces bois ont alors servi de site commémoratif jusqu’à la création de Yad Vashem en 1953. La Forêt des Martyrs englobe des sites de recueil en l’honneur des communautés juives assassinées ainsi que le mémorial d’Anne Frank, qui a pu être érigé grâce au soutien des amis du KKL-JNF dans le monde entier. Par ailleurs, le KKL-JNF a aménagé des zones de loisirs accessibles à tous, des points d’observation pittoresques dans toute la forêt, des pistes cyclables et un chemin pour les véhicules à moteur.

Ces bois tout près de Jérusalem doivent pouvoir accueillir des randonneurs, des familles et des groupes, le tout sans exclure les personnes souffrant d’un handicap.

La Forêt des Martyrs recèle également des traces de l’histoire récente suisse. Elle est un lieu pour se remémorer, certes, la résistance juive contre le régime de terreur des nazis mais aussi les personnes qui en ont souffert.

Le KKL-JNF s’est désormais fixé pour objectif d’instituer dans la Forêt des Martyrs un lieu de réflexion en mémoire des victimes suisses du «Troisième Reich», et ce, à proximité de l’un de ses accès les plus fréquentés. Cet endroit choisi avec soin sera situé à l’ombre d’un magnifique olivier ancestral, qui invite les visiteurs à se prélasser et à réfléchir.

Il est prévu d’apposer les noms des victimes suisses du Troisième Reich sur la grande plaque commémorative spécialement créée à cet effet par le KKL-JNF au cœur de la Forêt des Martyrs, non loin du lieu de recueil en question, et ce, pour que l’on puisse honorer leur mémoire éternellement.

La Suisse officielle peine aujourd’hui encore à faire face au souvenir de ces personnes malchanceuses, qui se trouvaient au mauvais endroit au mauvais moment, et à qui le gouvernement d’alors n’a pas apporté son soutien ou alors de manière très hésitante, souvent trop tard. Dans certains cas, les autorités suisses ont même livré des Juifs aux nazis alors qu’elles savaient ce qui les attendait de l’autre côté de la frontière.

Depuis quelque temps, si la Suisse parle d’un site commémoratif en l’honneur de ces victimes trop souvent oubliées, elle n’est toujours pas certaine de le bâtir un jour. Indépendamment de cela, le KKL-JNF souhaite, en collaboration avec ses amis et partenaires, contribuer à ce qu’un tel lieu de recueil soit construit dans la «Forêt des Martyrs». Tous ceux à qui cette thématique tient à cœur sont cordialement invités à soutenir le KKL-JNF dans la réalisation de ce projet ambitieux.

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Le KKL-JNF à l’image des petites abeilles

La crise actuelle du coronavirus fait passer bon nombre d’autres sujets au second plan. Néanmoins, s’ils peuvent paraître mineurs face à la pandémie, il est impératif de ne pas les perdre de vue. La disparition des abeilles en est un bon exemple: avant le coronavirus, elle suscitait beaucoup d’attention, et ce, bien au-delà du cercle des défenseurs de la nature. Et pour cause! Ce phénomène de longue date représente un très grave danger aussi bien pour l’être humain que pour la nature, car l’abeille à miel est la principale pollinisatrice de plantes que l’homme consomme couramment sous forme de denrée alimentaire. Par ailleurs, elle fournit la matière première pour de nombreux produits pharmaceutiques et contribue à protéger le système écologique sur toute la planète. L’importance de ces insectes dépasse donc très largement la simple production du miel, que l’on retrouve sur la plupart des tables des familles juives à l’occasion de Roch Hachana.

Étant donné que nous avons connaissance de ce fait au KKL-JNF, nous nous sommes activés sur un plus large front pour protéger les abeilles. La pensée écologique globale, de plus en plus mise en œuvre par le KKL-JNF, figure ici au centre. Concrètement, il est prévu de planter près de 110 000 arbres et arbustes dans tout Israël, en collaboration avec l’association israélienne des apiculteurs, le Honey Council. Ces plants doivent servir à produire ce nectar si vital pour les abeilles, comme une sorte de «station-service apicole». Ceci permettra de garantir que les abeilles disposent de suffisamment de ravitaillement durant toute l’année.

Comme nous l’avons mentionné ci-dessus, c’est en étroite collaboration avec le Honey Council que ces plants seront distribués gratuitement aux apiculteurs israéliens dans un futur proche afin qu’ils les mettent en terre dans des régions sélectionnées à travers tout le pays. Les arbres et arbustes en question proviennent de trois pépinières du KKL-JNF: une dans le sud, une dans le centre et une dans le nord du pays.

Parallèlement, quelque 20 000 ruches seront implantées sur les terres d’Israël appartenant au KKL-JNF.

Voilà déjà bien longtemps que le KKL-JNF soutient également la production de miel dans le kibboutz de Yad Mordechai, à proximité de la bande de Gaza. En effet, un bosquet d’eucalyptus a vu le jour en ce lieu chargé d’histoire afin d’apporter une aide active dans le développement de la production de miel du kibboutz. L’eucalyptus fleurit longtemps durant la saison où très peu d’autres plantes sont en fleur, ce qui améliore la qualité du nectar de manière significative. Autre aspect à ne pas négliger: le bosquet du miel est également un allié de taille dans la lutte intensive contre la désertification à laquelle le KKL-JNF participe depuis de nombreuses années. Qui plus est, Yad Mordechai fait régulièrement l’objet d’attaques ciblées depuis la bande de Gaza toute proche: des ballons incendiaires répandent la terreur du côté israélien de la frontière, ce qui a bien évidemment aussi des répercussions sur les populations d’abeilles et la production de miel vu que le feu endommage parfois des ruches.

Par conséquent, le miel n’est pas seulement un ingrédient délicieux, il est aussi un élément plus que vital. Israël joue un rôle prépondérant dans la lutte en faveur de cet élément, et le KKL-JNF le soutient de toutes ses forces. Aidez-nous en promouvant ce projet crucial!

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Investir dans la jeunesse

Des bourses ont été octroyées avec le soutien des amis du KKL-JNF en Suisse, en France et en Allemagne ainsi qu’avec l’aide de la fondation Horowitz en Israël. Parmi elles, 100 l’ont été dans le cadre de l’initiative Israel 2040.

Le KKL-JNF et ses partenaires octroient des bourses à 350 jeunes étudiants de tout Israël et de tous les milieux pour une valeur totale de 6,5 millions de shekalim. Cet octroi a été possible grâce au soutien des amis du KKL-JNF de Suisse, de France et d’Allemagne et à l’initiative du KKL-JNF Israël ayant pour objectif d’attirer 1,5 million nouveaux habitants dans les régions du Néguev et de Galilée d’ici 2040.

À l’occasion de la cérémonie de remise, le président mondial du KKL-JNF, Daniel Atar, a félicité les étudiants: «Comme Israël n’est pas riche en ressources naturelles, qu’est-ce qui a bien pu permettre ce miracle? Tout simplement nos ’ressources humaines’, que l’on pourrait aussi appeler  ’capital humain’. La formation et le savoir doivent  être les lumières qui nous guident. Voilà pourquoi le KKL-JNF a décidé d’investir une bonne partie de ses moyens dans ce secteur.»

Daniel Atar a poursuivi en déclarant aux étudiants qu’ils étaient l’avenir et ajouté: «Bientôt, c’est vous qui gérerez Israël, et dans tous les domaines possibles. Voici donc cette bourse pour faire progresser votre savoir et votre sagesse.»

Les bourses ont été décernées sur la base de critères définis par le KKL-JNF et ses partenaires. En collaboration avec le KKL-JNF France, des étudiants de pays francophones ayant immigré en Israël sans leurs parents (dont dix Marocains) ont bénéficié de ce don. Parmi les partenaires de cette action figuraient la fondation Bender en collaboration avec le KKL-JNF Allemagne, la fondation Saiovici avec le KKL-JNF France, la fondation Philosophie avec le KKL-JNF Suisse et la fondation Horowitz d’Israël.

Le président du KKL-JNF Suisse, Arthur Plotke, a félicité les destinataires au nom des donateurs et rappelé les racines suisses de l’organisation: «Le KKL-JNF a été fondé à Bâle, la ville où je suis né. Depuis lors, il s’évertue d’édifier le pays et d’améliorer la qualité de vie de tous ses habitants. Quelle réjouissance pour moi et que d’émotions de voir autant d’étudiants réunis ici!»

100 bourses ont été attribuées dans le cadre du projet Israel 2040 du KKL-JNF, qui vise à promouvoir les régions plus reculées d’Israël grâce à des investissements dans la formation, la technologie et l’infrastructure. L’idée est de renforcer la jeunesse israélienne. L’un des autres objectifs consiste à soutenir les villes et villages du Néguev et de Galilée.

L’économie figure en ligne de mire jusqu’à un certain point, sur la base du principe que renforcer les régions périphériques consolidera le pays dans son intégralité. Cette année, les bourses ont été concentrées sur le nord du pays et octroyées à des étudiants universitaires de la région de Galilée.

Le responsable scientifique du KKL-JNF, Doron Markel, a indiqué avoir lui aussi reçu autrefois une bourse du KKL-JNF pour son doctorat sur le theme du parc au bord du lac de la vallée de la Houla. Dans le cadre des responsabilités liées à son poste (cf. entretien en page 4), Doron Markel contribue à la coordination du projet Israel 2040.

Daniel Sagi, représentant local du KKL-JNF, a dirigé la cérémonie, tandis qu’un quatuor à cordes jouait de la musique classique tout bonnement enchanteresse. L’évènement s’est déroulé dans le jardin botanique de Jérusalem: le KKL-JNF a joué un rôle de taille au niveau du développement et de la transformation de ce lieu en un poumon vert florissant de la ville.

Après la remise des bourses par les représentants du KKL-JNF, Noa Ayalon, étudiante en philosophie de Haïfa, s’est adressée au public au nom de tous ses homologues: «Ce soutien que nous avons le privilège de recevoir va bien au au-delà d’une aide financière; il s’agit aussi d’une reconnaissance de la valeur de ce que nous accomplissons et du chemin que nous avons choisi. Nous en sommes donc extrêmement reconnaissants.»

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Ma'alot-Tarshisha - Promenade panoramique du lac Montfort

Face au lac de Montfort dans le nord d'Israël, véritable fond de carte postale, le     KKL-JNF Suisse a créé une promenade qui rend possible vos activités de plein air favorites, randonnée, jogging ou balade à vélo.

Le lac artificiel de Montfort est situé à l’est de la ville de Ma’alot-Tarshiha. La ville désormais unie, compte 45 000 habitants appartenant aux religions juive, islamique et chrétienne.

Le KKL-JNF a apporté une contribution significative à la création de Ma’alot depuis le début. La coopération avec cette communauté du nord s'est accrue au fil des ans dans les domaines de la conception du paysage, de l'écologie et du développement de la nature. Cette coopération se poursuit sans relâche jusqu'à ce jour.

Le lac Montfort fait partie d'un parc écologique qui offre une variété d'attraits touristiques pour les personnes de presque tous les âges. De nombreux sports peuvent être pratiqués ici, comme le kayak ou le pédalo, mais il y a aussi un camping, une piste de roller et de karting et bien plus encore. Le parc s'étend sur une superficie d'environ 35 hectares. Maintenant que les travaux d'aménagement de la promenade sont terminés, on peut observer les athlètes faire leur programme de remise en forme à différents moments de la journée, mais aussi les randonneurs qui aiment profiter du paysage.

Comme Roei Elrom du conseil municipal de Ma’alot-Tarshiha l'a expliqué lors d'une réunion sur place, la nouvelle promenade assumera diverses tâches importantes: «Elle facilitera l'accès à la nature et favorisera le développement d'une culture sportive et de loisirs. Cela soutiendra et avec espoir, même stimulera l'économie régionale. "

Le projet dans le nord d'Israël pourrait donc avoir un caractère de modèle - et le KKL-JNF Suisse a aidé et aide activement.

Jordan River Village

Le village d’enfants de la rivière du Jourdain est un centre aéré avec hébergement et centre de répit, unique en son genre, gratuit et ouvert toute l’année. Il s’adresse aux enfants atteints de maladies chroniques, génétiques ou mortelles, ainsi qu’aux enfants présentant des besoins spéciaux. Le KKL-JNF et ses amis du KKL-JNF de Suisse se sont engagés à aider le village en ajoutant un élément spécial et accessible : un verger. La création de ce verger permettra aux enfants de bénéficier d’une expérience sensorielle dans la nature, où ils pourront tout apprendre sur la façon de cultiver et entretenir des arbres, puis profiter des fruits de leur labeur. Le village est situè a Givat Avni entre Tibériade et Nazareth.


Idan

Idan est un moshav du nord de l’Arabah, qui a été fondé en 1980 par des olims (immigrants) en provenance du Canada et des États-Unis. Là-bas, la plupart des familles vivent de l’agriculture. Depuis peu, le moshav s’essaie au tourisme, par exemple en ouvrant des petits hôtels de chambres d’hôtes ou des restaurants. Le KKL-FNJ aide ces communes dans le cadre du développement de l’Arabah. Le projet actuel, qui devrait être réalisé avec l’aide des dons en provenance de Suisse, consiste à mettre en place des parcelles pour 78 nouvelles familles, qui vont déménager du centre du pays vers l’Arabah. L’arrivée de ces familles est extrêmement importante pour la croissance de la population locale et la vitalité de l’Arabah.


Forêt suisse de Tibériade

Le 18 octobre 1985 s’est déroulée l’inauguration festive de la nouvelle forêt suisse du Keren Kayemeth Leisrael dans les hauteurs de Tibériade, au bord du lac de Genézareth.

 

La topographie a joué un rôle capital dans la plantation de cette forêt. Le lac, la petite ville de Tibériade sur son rivage et la montagne escarpée toute proche: ceci rappelle fortement la Confédération helvétique. Et justement, par expérience en Suisse, on savait que les forêts formaient une barrière de protection contre les glissements de terrain de type avalanche. Ces collines pentues jadis nues ont été plantées d’arbres et, depuis lors, plus aucun glissement de terrain n’est survenu.
La cérémonie d’inauguration a revêtu une importance particulière avec la présence de Pierre Aubert, conseiller fédéral et président du Département fédéral des affaires étrangères.
La forêt suisse de Tibériade dans le Nord d’Israël se démarque par des sites d’observation à couper le souffle sur le lac de Genézareth. En effet, elle s’étend sur des parois abruptes et offre un spectacle fabuleux sur le lac et le plateau du Golan. Une promenade en forêt rafraichissante à tout moment de l’année!
Ce qui est une évidence en Suisse commence juste à émerger en Israël: grâce aux dons de la Suisse, le KKL a déjà pu aménager plusieurs pistes cyclables de différents niveaux de difficulté dans la forêt de Tibériade. Celles-ci sont particulièrement prisées durant les week-ends et les jours fériés. Une véritable attraction pour petits et grands.
Aujourd’hui, la forêt suisse du KKL est une zone récréative de proximité très appréciée, qui compte des places de pique-nique ombragées ainsi que des sentiers de randonnée et des pistes cyclables. La faune et la flore y prospèrent.

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